Dans la lumière ombrée
après le sel des marées
Je m’allonge sous les saules
Les longs fils tremblent
J’énumère ce qu’il faudrait taire
Et tout le reste m’indiffère
C’est que vient mon hiver
En attendant l’été
Un baiser pour l’aurore
Dans la lumière ombrée
après le sel des marées
Je m’allonge sous les saules
Les longs fils tremblent
J’énumère ce qu’il faudrait taire
Et tout le reste m’indiffère
C’est que vient mon hiver
En attendant l’été
Un baiser pour l’aurore